Sobre « Faire face avec nos dos. Pour de nouvelles alliances entre force et vulnérabilité », una conferencia, clase, training, invitación de Marie Bardet en el evento https://4.days4ideas.be/fr/home

Experienciada el 4 de septiembre de 2019 

 por caterina daniela mora jara

traducción: Deepl y Lucas Trouillard

A côté du titre

Sur " Hacer con nuestro atras. Para nuevas alianzas entre la fuerza y la vulnerabilidad ", une conférence, un cours, une formation, une invitation de Marie Bardet à l'événement https://4.days4ideas.be/fr/home.

Expérimenté le 4 septembre 2019  

par caterina daniela mora jara

traduction : Deepl et  Lucas Trouillard

Hoy es el día siguiente del 4 

¿Podré transgredir el ejercicio de “registrar la experiencia” para formular este “comentario”? 

¿Cuánto necesito y cómo abordar el contexto?

Digamos que estamos ella, yo, nosotras y nosotros en una sala de danza. Ella tiene un micrófono. Digamos que el español no es la lengua oficial de esta ciudad, sino otros dos: neerlandés y francés. Y sumemos una traducción al inglés, porque esta es la ciudad más “cosmopolita” del mundo después de Dubai, dice por ahí una página web. 

Digamos que este cuánto de contexto es “suficiente”. ¿Pero y si fuera insalvable el “cómo”? Me pregunto, cómo intentar abordar la paradoja de escribir sobre un evento en esta ciudad que trae evidentemente ciertas preguntas y prácticas “argentinas”. Me pregunto si este adjetivo me tiene una trampa. 

Aujourd'hui est le jour après le 4 

Serai-je capable de transgresser l'exercice “d'enregistrement de l'expérience” pour formuler ce "commentaire" ? 

De combien ai-je besoin et comment dois-je aborder le contexte ?

Disons que nous sommes elle, moi et nous dans une salle de danse. Elle a un micro. Disons que l'espagnol n'est pas la langue officielle de cette ville, mais deux autres : le néerlandais et le français. Et ajoutons une traduction en anglais, car c'est la ville la plus "cosmopolite" du monde après Dubaï, affirme un site web quelque part. 

Disons donc que ce contexte est "suffisant". Mais que faire si le "comment" est insurmontable ? Je me demande comment aborder le paradoxe d'écrire sur un événement dans cette ville qui, de toute évidence, apporte avec lui certaines questions et pratiques "argentines". Je me demande si cet adjectif ne me tend pas un piège. 

¿Y para quién escribo? ¿Para quienes leen español en Argentina o acá? ¿O para quienes leen o quieren leer francés?

Elle dit, avec les mots de son amie, que je connais aussi: “trouver une force qui ne bloque pas l´écoute”. 

« Pas de respect, plutôt une responsabilité de l´écoute ».  

Et pour qui est-ce que j'écris : pour ceux qui lisent l'espagnol en Argentine ou ici, ou pour ceux qui lisent ou veulent lire le français ?

Ella dice, con las palabras de su amiga, que yo también conozco: “encontrar una fuerza que no bloquee la capacidad de escucha”.

“Sin respeto, más bien una responsabilidad de la escucha”.

La paradoja de cómo abordo el contexto, quizás siempre insalvable, y quizás qué importa. 

“Me caigo hacia arriba”, elle. 

Le paradoxe de ma façon d’aborder le contexte, peut-être toujours insurmontable, et peut-être que cela importe"

Je tombe vers le haut", ella. 

Digamos también que la lengua “maternal” d’elle est le francais y que se le olvida a veces. Que por ejemplo, se olvidó la palabra “chevilles”. Y yo me acuerdo que cuando aprendí esa palabra, me daba ternura que se parezca a “caballo”. En efecto, esa palabra significa tobillo. 

La trace de sa main, dans le miroir : le régime de visibilité touché. 

Dejar entrever el reflejo, un poco. 

C´est où la lutte ? Quelles luttes ont-ils ici? 

Lector, lectora, lectores, aquí te invito a tocar la pantalla en el margen de la misma. No la parte frontal y focal hacia vos, sino, el borde de la pantalla y atrás, el dorso, o la espalda. Te invito a sentir su temperatura, textura. Oh artefacto, cuánto de tu genealogía ha influido la nuestra y viceversa, cuánto nos determinas. 

Voy a intentar darte un abrazo, de côté. 

Disons aussi que la langue "maternelle" d'elle est le français et qu'elle l'oublie parfois. Par exemple, elle a oublié le mot "tobillo". Et je me souviens que lorsque j'ai appris ce mot, j'aimais beaucoup le fait qu'il ressemble à "cheval". En fait, ce mot signifie cheville. 

El trazo de su mano en el espejo: el régimen de visibilidad tocado. 

Laisser entrevoir le réflexe, un peu. 

¿Dónde está la lucha? ¿Cuáles son las luchas acá? 

Lecteur, lectrice, lecteur.e.s, je vous invite ici à toucher l'écran en marge de l'écran. Pas la partie frontale au milieu vers vous, mais le bord de l'écran et l'arrière, le revers ou le dos. Je vous invite à sentir sa température, sa texture. Oh artefact, combien ta généalogie a influencé la nôtre et vice versa, combien tu nous détermines. 

Je vais essayer de te faire un câlin, sur le côté.